Le Trou-billon!

Il avait attendu. Elle avait prononcer le premier mot pertinent de tout leur échange jusqu’ici. Puis, c’était avec grande attention, les yeux morts, qu’il l’avait observer chercher dans sa poche un objet. Elle lui avait tendu, rouler dans du papier, une cigarette dont le contenu était hors de tout doute de la drogue. Oh divine providence! Cette guerrière était vraiment l’officier que sa me prenait!

Un échange équivalent, accompagné d’un regard de connivence. Elle savait. Je le savais. Et personne d’autre ne comprendrait. Cette dégaine, cette attitude qu’elle avait, la façon que les autres hommes avaient de la traiter, sa lui rappelait quelque chose. Une histoire, qui courait dans les rangs d’Aegis.

L’histoire avait des relents de légende, pour les vétérans. Définitivement elle lui avait rappeler quelqu’un. Ah! Non. Finalement, rien. Bah! Sa lui reviendrais surement. Peut-être... Des oranges? Comprend pas. Hum, son lance caporal, lui avait-il dit quelque chose? Ou bien était-ce dans sa tête, vérifions.

-Lance Caporal. Je n’ai rien entendu. Je n’ai pas le temps pour vos inepties. Voyez la suite des choses avec la caporal.

Avais-je dit en désignant la femme au bras métallique. Bon. Trou, me voici. Mais avant, briquet! J’avais sorti un briquet de ma poche. Allumer sans attendre, le peco. Pris une grande bouffée, longue et puissante, puis avais par la suite exhaler, un nuage opaque par mes narines, comme un dragon. Ahhhh. Je pense que pareille visite au trou, n’auras jamais été si agréable. Les effluves, me relaxant déjà.

-Merci caporal. Si vous avez besoin de matériel présentez-vous à Neil au fond du hangar 5, c’est l’intendant. Si vous avez des cigarettes comme celle-ci à échanger, il se pourrait qu’il vous donne des munitions supplémentaires ou encore des rations plus savoureuses ou même, de l’alcool de meilleure qualité, des trucs importés comme mon 1792. Si vous chercher des choses, plus exotiques, c’est l’homme de la situation.

Petit clin d’oeil et geste peu discret de la main dans la direction du cul, de la médecin bimbo. Elle était un peu trop augmenté à mon goût, mais bon qui étais-je pour juger, hein?

-Enfin, bon. Moi j’y vais. Si on me demande, je dirais que vos collègues ont fait preuve de mysoginie à votre égard et que je ne suis pas intervenu parce que les petit gars avaient besoin d’une petite leçon. De toute façon, nous ne sommes pas une garderie, ici. S’ils crèvent, après quelques coups de poings, ils ne sont pas assez fiables pour notre section. Je leur trouverait un remplaçant, dans 24 heures. Bonne permission à tous!

Puis, j’avais pris lentement le chemin de la prison et son trou. L’âme soudainement plus légère. À mon arrivée personne ne m’avait posez de questions. Ils m’avaient donner mon trou favori, le septième sur la droite en entrant, un traitement royal. Un vrai seigneur, dans son château.

‘’ Sa tourne, sa tourne, sa tourne, Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne,  Sa tourne, sa tourne, sa tourne. C’est un Trou-billon! Superbe jeu de mots! Je suis un génie! ’’  

Mais elle avait été amusante cette nuit, ce jour, etc. Tiens, j’avais reçu un ordre de rassemblement dans le Hangar 5! Hum. Hop! Je l’avais aussitôt transférer l’ordre à mes sous-off. Je les rejoindraient  sur place, mais j’allais devoir passer à mes quartiers avant. Parce que l’ordre stipulait en d’être prêt à un déploiement immédiat. Enfin! Enfin de l’action et une bonne raison d’amener un Whisky Amrut two continents, une de 786 bouteilles mise en vente il y avait deux siècles, un prétexte en or, pour boire, magnifique! J'adorais ce travail, sauf peut-être le trou et encore, si j'étais toujours défonçé... Nah, vaudrait mieux pas trop souvent. Des plans de cours martiale, ça.

Ont pourraient célébrer le retour de nos survivants après la mission, en grande pompe! Ha ha ha ha! Sa serait bien. J’en était certain.

Le réveil vient d’un seul coup. Le paladin se lève, sursautant presque lorsqu’il voit où il se trouve. “... C’est pas chez moi ça!” Il se retourne et voit deux magnifiques courtisanes, l’une le regardant avec un mielleux sourire. Il sursaute encore. “Bordel, t’es qui toi!” Il tombe du lit. Son corps sonne métallique en frappant le sol.

“Baah, Tiffany? Allô? bon matin?” Elle regarde le valeureux guerrier, confuse.

“Vos gueules, vous faites trop de bruit…” dit une voix très grave et masculine. Il semblerait que l’une des courtisanes soit donc un courtisan.

“... hein? De quoi?” De dignes mots. “Mais j’vous ai jamais vu, vous deux!” Une alarme sonne dans son crâne. “Oh eh! le boulot!” Il se lève d’une traite, titube, retombe sur le sol.

“Toi, un travail? pfffft!” La dénommée Tiffany se met à rire.

“Hey!” Le paladin se relève. Sa nausée aussi. “Je… Je… t’as quand même raison.” Il court vers les toilettes. Après tout, même les grands guerriers sans faiblesses ont leur… moments moins grandioses.

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Fierté! Dignité! Valeur! Telles sont les émotions ressenties par les grands hommes qui partent au combat, rejoignant leur caserne. Il n’y a pas de doute, Capitaine N3M0 les ressent aussi au plus profond de son coeur.

“eh merde… Pourquoi j’peux pas rester couché aujourd’hui…”

Son regard vide scrute l’horizon et le lieu de rendez-vous pendant une bonne minute avant de reconnaître quelque chose.

“oh eh! Zilla! T’as du café?” Dit-il en s’approchant vers elle, passant devant les deux hommes qui ont l’air très important. “Salut les mecs,” ajoute-t-il en levant la main vers eux. “Eh, c’est l’andro- J’veux dire, C’est Perl! Salut!”

Il ouvre le canal sécurisé de sa section qu’il a lui même piraté pour que même les grands dirigeant ne puissent s’y introduire. *C’est qui ces mecs?*

Après t’être fait réveiller doucement par ta beauté, te voilà debout, prête à ta nouvelle vie au sein d’un groupe. Tes circuits tactiles sont encore tous sensibles, par la faute de la fonction 8. Va falloir que tu lui montres, la nuit prochaine, les 1001 avantages des nano-robots, histoire de lui redonner la pareille.

Tu t’inquiètes un peu pour tes bébés, une journée complète sans les améliorer, ce n’est pas ton genre, mais ce sont de bons petits animaux, leur absence de conscience les aidera sûrement à ta pardonner.

Tu arrives sur place, heureuse d’avoir un corps d’androïde pour ne pas avoir l’air d’un cow-boy ayant monté toute une journée. Deux adjudants, c’est le temps de faire bon impression. Tu leur fait ton plus beau sourire, bombe le torse, te tiens droite, comme dans le bon-pas-si-bon-que-ça vieux temps et…

…Et te fait couper par N3M0, qui arrive avec classe et subtilité. Ce n’est pas grave, toi, tu restes de glace, ce n’est pas un petit imprévu qui brisera ton maintient robotique, soulevant un sourcil et penchant légèrement la tête, le temps d'une demi-seconde, en guise de salutation. Tu te fais un petit discours mental, histoire de bien faire ressortir tes points forts, de façon efficace (les hommes ont une capacité d’écoute minimale, après tout), avant d'annoncer tout haut :

-Adjudant-chef, adjudant, salutations, merci pour vos bons mots. Mon nom est Perl, je suis humaine, je suis une indépendante, enfin, nouvelle recrue, qui a fui l’armée du pays, pour laquelle j’ai travaillé 12 ans. Je me spécialise en nano-robotique, surtout en médecine d’attaque et de réparation, en programmation, en combat corps à corps. Ah, aussi, je ne sais pas si c’est pertinent, mais je peux piloter n’importe quel avion, ou presque. C’est que j’ai cru comprendre qu’il, ahem, manquait un pilote. Ce qu’il y a de bien, avec les robots, c’est que je peux conduire en soignant, ils sont déjà tous préprogrammés.

Tu te demandes si c’est assez, trouve qu’il manque un petit quelque chose, et balbutie en vitesse ces doux mots :

-Quoique je peux soigner sans robots, si besoin est, c’est juste que ça fait plus de jus.

Sourire se voulant rassurant.

-Bref, je prendrai tout poste ou tâche que vous ayez à me donner.

Regard vers Zilla et N3M0 cherchant leur approbation. C’est pas si pire, comme début. Maintenant reste à savoir ce qu’ils feront de toi.

Bon dieu de merde! Cette nuit avait été intense, tourbillonnante et agitée! De son passage au trou, il ne lui était rester que bien peu de souvenirs. Si ce n’était ce fameux Troubillon, cela le faisait d’ailleurs encore marrer, en ce festif matin de déploiement.

L’unique raison, qui l’avait poussé à prendre connaissance de ces ordres de missions avait bien sûr été, leur caractère urgent, parce qu’il était évidemment, un soldat sérieux et responsable.

Non, probablement pas en fait.

Ce genre de convocation au combat, se faisait en général imposer via le système informatique d’Aegis. À la manière d’un virus infectant votre interface utilisateur! Une plaie aux proportions biblique, surtout sur un lendemain de cuite!

L’alarme agaçante y avait également été pour beaucoup, dans sa façon prompte d’adresser et rediriger les ordres. De la sorte, le beuglement assourdissant dans ses implants auditifs, avait cesser aussi rapidement qu’il ne l’avait perturbé. Son mal de bloc, dû à la drogue, l’en avait remercié, presque littéralement.

Dans ses quartiers, Lynch avait profité d’une douche rapide, du luxe d’un changement d’uniforme, de quelques rasades matinales de Cognac Rémi Martin VSOP et pris possession de son équipement de combat. Il avait même pris cette peine de se raser de près, s’étant senti véritablement plus motivé, que les vingt-quatre heures précédentes.

Bref regard dans le miroir, ouais, il avait plus l’air d’un être humain aujourd’hui. C’était peut-être le Cognac...

Sa bonne humeur, l’avait poussé à s’équiper comme un vrai soldat, veste pare-balles lourde, couteau moléculaire neuf, combinaison corporelle furtive; renforcée aux articulations, système intégré de camouflage et également, prothèse de combat blindé; était venu remplacer son habituel uniforme débraillé.

Il était arrivé environ trente minutes plus tard que prévu à son rassemblement, casque à visière complète sous le bras droit, bouteille de Whisky Two Continents à la main gauche, dans son étui anti-chocs de carbone.

Et puis...

POUF!

Sa bonne humeur s’en était aller! La vue de ses supérieurs Adjudant-Chef et Adjudant, l’avait douché, refroidi, terni. Merde! Putain! Bordel! Foutre! Diantre! Par Zeus! Et j’en passe! Penser fugace pour son haleine, se rappelle s'être brossé les dents, se détend un peu. Espère secrètement, que ses supérieurs ne remarqueront pas la bouteille.

-Sergent-Chef Lynch, vous êtes en retard! Cela dit, vous tomber à pic, nous vous attendions. Bravo pour votre coup d’éclat, belle opération, rondement mené, malgré vos contre-temps des dernières vingt-quatre heures. Vous avez amenez une bouteille pour célébrez? Magnifique! Je procède au service? Avait-il dit, main tendue.

Bordel de dieu! Lynch, lui avait tendu le caisson jouant un jeu, sans savoir vraiment lequel. Soulignant au passage la présence de coupes de plastoc dans la boîte.

-Adjudant-Chef, Adjudant! Désolé de mon retard, l’ordre de déploiement de ce matin a nécessité de ma part, quelques préparations de dernière minute! Merci de faire le service c'est trop... d'honneur.  Oupss! Silence trop long peut-être? Il avait espérer que non.

Il avait enchaîné son salut militaire, dans un ordre parfait, talons claquants, gestes fluides et regard assuré. Secrètement, il aurait eu envie de jurer, en descendant tous les Saints du ciel, peu désireux d’avoir la charge, de plus d’hommes. Regrettant par avance, la paperasse inhérente à son nouveau grade, dont la provenance lui était malheureusement inconnue.

Regard de biais vers un message sécurisé de N3M0, emoji Facepalm envoyé, d’un clignement de l’œil, il avait ensuite regardé brièvement, Zilla. Celle-ci avait sembler passablement animé pour un lendemain de permission, elle avait donc dû gagner du grade elle aussi en avait-il conclu.

-Écouter, Sergent-Chef, personne ne vous tiendra rigueur de ce retard ce matin. Votre section à fait un boulot incroyable! La hiérarchie à décidé que plutôt que vous confiez plus de troupes et les responsabilités de l’ex Sergent-chef Lee, nous allions vous offrir le commandement d’une section de contre-espionnage. De toute façon, je ne vous apprends rien, vous avez lui le courriel c’est évident. L’annonce est surtout pour votre section! Ah et la nouvellement Sergente Zilla, vous a trouvez un atout médical, qui auras également fonction de pilote! Fameuse bouteille au fait! Vous avez plus de goût que je ne le pensais!

Putain de connard! Quelle perte, que cette bouteille! Pire que de l'échapper sur le sol!

-Ainsi soit-il Adjudant-Chef, merci Adjudant-Chef, à vous aussi merci Adjudant! Content que vous ayez, vous et mes hommes, appréciez une de mes meilleures bouteille. Une telle occasion se célèbre en grand, n'est-ce pas?

Sourire forcé. Banalités d’usage. Sourire et bienvenue à la nouvelle recrue Perl. Quinze minutes s'écoulent, les oiseaux de malheurs saluent, puis prennent congé. Ont passe enfin, aux choses sérieuses.

-Okay. Maintenant, j’aimerais un bref rapport de situation, sur ce que j’ai bien pu planifier, alors que je volais sur un nuage narcotique dans les vingt-quatre heures dernières? Parce que visiblement, il y a un mail, que j’ai louper.

-Karla? Ma jolie je vais devoir couper court à notre charmante discussion, je suis malheureusement attendu au Hangar 5.

La belle avait de grands yeux vert lime, qui trahissait en ce moment une déception laide, coupable, un peu comme le dernier verre de mauvais vin le soir d’une cuite post cercle de prière.

-Ah bon? Dommage… J’aurais aimer poursuivre cette conversation plus en, profondeur, si tu vois ce que je veux dire?

Sourire concupiscent, légère crispation des mains.

Juan, lui agite la main et part d’un pas pressé, soulagé malgré lui de ne pas avoir céder au péché. Dieu! La confession hebdomadaire devrait attendre son retour de mission. Il pressa le pas, décidé à ne pas se laisser distraire de nouveau par aucunes belles.

Quinze minutes plus tard et quarante-deux étages plus haut, le voilà dans le hangar, juste à temps pour voir un N3mo embarrassé tenté vainement de raconter les événements de la veille.

Le regard de leur supérieur, toujours aussi fatigué quoique bizarrement soigné, regardant avec stupéfaction, un subordonné comparé la raclé infligé aux Bêtas à un combat de boxe contre des cornichons.

La tentation de volé au secours de N3mo, était déjà bien morte lorsque le regard de Blake croisa le sien, alors qu’il cherchait probablement un moyen rapide de mettre fin à cette embarrassante conversation sans queue ni tête.

Sans attendre d’autres encouragements, Juan s’avança vers le reste de la section prenant place près de la nouvelle pilote et field médic, lui adressant un sourire bref et professionnel. Pour une rare fois, il allait essayer de faire profil bas considérant qu’il avait carbonisé à lui seul la moitié de la section Bêta et que si des représailles devaient avoir lieux, il y gouterait probablement pas mal.

-Belle matinée n’est-ce pas? Des détails ma chère sur nos ordres de déploiement?

Son ton courtois habituel, dirigé vers la charmante Perl, récemment enrôlé dans la section.

*Oh. Ben merde,* s’exclame avec grand honneur le guerrier. La communication sécurisé, une véritable merveille.

“Qui, moi?” Demande-t-il alors à son supérieur. Un chef demande toujours des détails sur la situation avant de se prononcer, c’est bien connu! “Euh… Ouais! Caporal, moi. ouais. Euh, ça va, ça va!... Je suis euhm… on vois pas aussi souvent autant de cadavre dans notre métier!...” Il prend une seconde pour penser à ce qu’il vient de dire. “... d’allié! Des cadavres d’alliés!” Il y pense une autre seconde. “Enfin, de supposés alliés! Savez, des traîtres, tout ça… Vous savez, c’est comme les cornichons, quand on plonge la main dans un pot pour en prendre un, on s’attend pas à un étron!... hm… ou à une carotte…” Valeur, honneur, et droiture ; la pierre angulaire des agissements du capitaine caporal N3M0.

Plusieurs minutes passent. Le caporal se tait. Profite de sa nouvelle coupe en plastique pleine d’alcool. Il se sent tout à coup beaucoup mieux. Il se sent beaucoup moins bien quand Zilla lui demande de faire un briefing. Un briefing! Lui! Dans cet état!

“... À vos ordres,” dit-il avant de se tourner vers Lynch. “Pourquoi Juan est pas là, merde!” s’exclame le grand homme. Un éclair de génie, après tout! Donner la tâche de conteur au ménestrel! “...Bon. Euhm. Lynch. Ben voilà, quoi, les Bertas - les Betas, pardon - Avaient l’air louche, ils nous ont insulté, on les as euhm… un peu… boxer, comme on dit! Comme des cornichons, tu vois?” Bien sûr il ne dit pas toute l’histoire, à moins que son chef ne désire l’entendre. N3M0 n’est pas du genre à ébruiter les menus détails sans importances, quel guerrier ferait-il s’il se dérangeait de la moindre petite destruction totale de bâtiments? “... Et eux, ils ont utilisé la force létale! Létale, j’te dis! Y nous tiraient dessus! alors, ben, on a tiré aussi. et bah, on a bien fait! parce qu’ils avaient des info top capital de la mort qui tue, mec! Genre, ça aurait fait mal à notre employeur, et on veut pas ça, hein? Non, on veut garder notre employeur!” Le paladin hoche la tête. “Ouais. Donc, on a fait la bonne chose.” Certes. “Eh, Lynch, Sergeant,” Il dit avec un grand sourire. “Z’êtes fier de nous, pas vrai? Comme un père… non pas comme un père. Enfin, vous voyez c’que j’veux dire!”